Jean-Jacques Demri – Un médecin généraliste passionné par son métier

Jean-Jacques Demri est un médecin généraliste à la retraite. Il est marié et père de deux enfants. Depuis toujours, Jean-Jacques Demri est une personne altruiste. Il a toujours eu à cœur d’aider les autres, c’est pour cela qu’il s’est dirigé vers des études médicales pour devenir médecin généraliste. Il a aussi beaucoup donné de sa personne pour des causes humanitaires.

Maintenant à la retraite, après une carrière riche en expériences diverses, il continue de consacrer une partie de son temps à aider les personnes dans le besoin. Il se concentre aussi sur ces passions : la littérature et la musique classique. Retour sur la vie et le parcours professionnel de ce médecin généraliste, maintenant à la retraite.

L’enfance et le parcours scolaire de Jean-Jacques Demri

Jean Jacques Demri est né au sein d’une famille nombreuse. Depuis son plus jeune âge, il a donc appris le partage et la générosité. Grâce à son père, chirurgien, il a très vite été plongé dans l’univers de la santé et a développé un goût inné pour les sciences. Ainsi, il s’est rapidement intéressé à la santé et à la médecine plus particulièrement. Très jeune, il se passionne déjà pour des matières scientifiques nombreuses et complémentaires. Cet appétit pour les sciences et son besoin de venir en aide aux personnes dans le besoin le conduiront à vouloir devenir médecin.

A l’adolescence, il confirme ce choix de vie et décide de suivre une formation scientifique pour intégrer une faculté de médecine. Au lycée, il s’oriente donc vers un baccalauréat scientifique en intégrant un établissement réputé de sa région, reconnu pour son niveau exigeant. Il obtient le fameux sésame haut la main et poursuit son rêve de devenir médecin.

Grâce à ses excellents résultats, il est accepté dans la prestigieuse université de médecine de la Sorbonne, à Paris. Dès lors, il se voue corps et âme à l’apprentissage de la médecine. Grâce à un travail acharné et un don unique pour les sciences, il parvient à passer la première année sans grande difficulté en faisant même partie des meilleurs étudiants de sa promotion. La fin de la première année de médecine est l’occasion pour les étudiants de s’orienter dans un choix de carrière. Jean-Jacques Demri choisit la médecine générale. Ce choix est motivé par le faite de vouloir venir en aide au plus grand nombre de personnes au quotidien. Après de longues années d’étude et plusieurs mois d’internat, il est enfin reconnu officiellement comme médecin général.

Sa carrière en hôpital

Jean-Jacques Demri débute sa carrière de professionnel de la santé au sein d’un hôpital. Il s’est formé dans de nombreux hôpitaux, son but étant de rencontre un maximum de patients et de pathologies différentes. Il a ainsi développé un sens aigu de l’empathie, de l’écoute et de la compréhension, des qualités indispensables à tout bon médecin généraliste. Il faisait aussi preuve de curiosité et de détermination dans la recherche des pathologies de ses patients. Pour lui, bâtir une relation de confiance était primordial, une réflexion qui lui convaincra d’ouvrir son propre cabinet de médecine générale.

Sa carrière en tant que médecin généraliste

Après avoir exercé en tant que médecin dans les hôpitaux, Jean-Jacques Demri s’est rapidement aperçu que ce cadre ne permettait pas de bâtir une réelle relation de confiance avec ses patients. De plus, ce qui l’intéressait vraiment dans la profession de médecin général était l’opportunité de devenir un médecin de famille, un professionnel de la santé qui suit une famille, des parents jusqu’aux enfants, tout au long de leur vie.

Suite à cette réflexion de plusieurs mois, il décide d’ouvrir son propre cabinet de médecine générale et d’adopter une approche différente avec ses patients. En effet, les médecins généraux abordent les consultations en cabinet de manière bien différente comparé aux consultations à l’hôpital.

Un médecin généraliste travaillant dans un cabinet consacre généralement plus de temps à ses patients lors des consultations et, ces derniers, ont tendance à venir consulter leur médecin pour plusieurs motifs différents. Le professionnel doit donc être capable de jongler d’une discipline à une autre et d’identifier rapidement les différents symptômes afin de déterminer le plus efficacement possible le traitement à prescrire. Il doit posséder un très bon relationnel, car le médecin généraliste s’appuie sur le témoignage de son patient pour identifier les potentielles pathologies avant de procéder à un examen médical. Il peut aussi s’appuyer sur des examens médicaux complémentaires comme des radiographies ou des analyses de sang. Il peut aussi accompagner ses patients sur le long terme, notamment s’ils sont atteints de maladie chronique, ou les suivre tout au long de leur vie en devenant leur médecin traitant. C’est essentiellement cet aspect de ce métier que Jean Jacques Demri appréciait tout particulièrement.

Ensuite, le médecin généraliste a aussi un rôle de conseils et de prévention important. Il se doit de sensibiliser ses patients à l’importance de développer un mode de vie saine (hygiène, alimentation, pratique sportive, etc.), mais aussi sur l’importance des vaccins et des dépistages. Ainsi, il doit s’intéresser à tous les domaines de la médecine et rester constamment en veille pour avoir connaissance des progrès scientifiques.

Enfin, le médecin généraliste est un professionnel de santé qui suit des personnes de tout âge. D’une part, ils sont capables de conseiller les parents face aux différents soucis de santé que peuvent rencontrer leurs jeunes enfants. D’autre part, ces professionnels de la santé doivent aussi prendre en charge des personnes âgées sur le long terme.

Jean-Jacques Demri a apprécié exercer au sein de son propre cabinet de médecine générale, car, comme il le dit, son but, en devenant médecin, était de construire une relation de confiance et de suivre ses patients sur le long terme en leur apportant toute l’aide nécessaire pour qu’ils se maintiennent en bonne santé.

Un médecin au service des causes humanitaires

Au cours de sa longue carrière, le médecin généraliste a toujours consacré une partie de son temps à des causes humanitaires, que ce soit pour apporter une aide médicale à des personnes dans le besoin en France ou dans le monde entier, notamment lors de catastrophe naturelle. Ainsi, il a participé à de nombreuses actions. Par exemple, il s’est rendu dans quelques pays défavorisés de l’Afrique subsaharienne et du Moyen-Orient. Lors de conflits ou de catastrophes naturelles, il s’est rendu sur place pour proposer son aide dans des centres de soin et des hôpitaux d’urgence. Ainsi, il a été amené à travailler avec de nombreuses ONG et d’autres professionnels de la santé engagés.

En résumé, Jean-Jacques Demri a respecté ses engagements en tant que médecin. En tant que médecin généraliste, il a su construire une relation de confiance sur le long terme avec ses patients et en tant que médecin humanitaire, il a su apporter son aide et son expertise médicale à des populations défavorisées dans le besoin.

Désormais à la retraite, Jean-Jacques Demri se consacre à ses deux passions : la littérature et la musique classique.

La littérature et la musique classique, les deux passions de Jean-Jacques Demri

Passionné par la science, Jean-Jacques Demri est également passionné par l’art, et plus particulièrement, par la littérature et la musique classique.

Parmi toutes les œuvres littéraires qu’il a eu l’occasion de lire, le style qu’il apprécie particulièrement est le théâtre. Ses œuvres préférées ? « L’illusion Comique » de Corneille, « Hamlet » de Shakespeare et, pour sortir du registre théâtral, « Les Rougon-Macquart » d’Emile Zola.

Du côté de la musique classique, Jean-Jacques Demri apprécie aussi bien les concertos que les symphonies ou l’opéra. Ses compositeurs préférés ? Wolfgang Amadeus Mozart, Ludwig van Beethoven ou encore Claude Debussy. Scientifique dans l’âme, il n’en reste pas moins curieux et écoute aussi d’autres styles musicaux comme le jazz ou encore le rock.